« En 1955 paraît chez Denoël Le Vin des rues, le chef-d’œuvre de Robert Giraud, d’abord grâce à Prévert puis à Blaise Cendrars. Bob Giraud s’y affirme comme un chroniqueur de grande classe et un témoin lucide de la mistoufle parisienne. C’est un des grands livres de la littérature parisienne et probablement un des derniers témoignages sur un Paris qui disparaît inexorablement sous la pelle des démolisseurs.
Cette connaissance lui donne l’occasion de travailler avec le jeune réalisateur Alain Jessua pour son premier film (le court métrage Léon la lune) ou avec le photographe Irving Penn pour une série de photos consacrées aux petits métiers de Paris publiées dans le magazine Vogue.
Cet ouvrage trouve son public et ouvre des portes à Bob Giraud : Pierre Mac Orlan le tient pour un auteur plein d’avenir, le jeune mais déjà célèbre René Fallet le félicite dans Le Canard enchaîné, André Vers aussi dans Le Monde libertaire. » Wikipédia
Bonjours, je suis le fils de marie Rose, je serais trés heureux de recevoir les infos des expos a venir.…
Quel créateur incroyable Une histoire digne d’un conte de fée ❤️ Comme dit André ‘ les fusils c’ est mais…
Merci à toute l’équipe du musée de soutenu mon travail !
Merci pour votre commentaire. Pour cette demande, le passage par le mail "contact" dans "Infos pratiques" serait sans doute plus…
Bonjour, Mon compagnon et moi-même souhaitons assister à la conférence « Ce que l’Art Brut a fait à André ROBILLARD…