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"L'art, ça ne soigne pas la folie,
mais ça permet de la vivre."
Joël DELAUNAY


Musée Art et Déchirure Sotteville-lès-Rouen
  1. Merci pour votre commentaire. Pour cette demande, le passage par le mail "contact" dans "Infos pratiques" serait sans doute plus…

  2. Bonjour, Mon compagnon et moi-même souhaitons assister à la conférence « Ce que l’Art Brut a fait à André ROBILLARD…




D’actualité : le lit sanglant du monde

Marie-Claude DESMONT, sans titre, 1975, 190 x 65 cm, photographie, gouache, collage sur panneau de contreplaqué bois, collection Musée Art et Déchirure

Documentaire

Jennifer Mackay : une brodeuse in situ

Dans nos collections figurent les œuvres de Marie-Rose LORTET, Nicole BAYLE, Florence GRATIEN, Odette PICAUD et Catherine RIVOIRE. Le travail de Jennifer MACKAY proposé au Musée Flaubert s’inscrit dans le même esprit.
source : flâner, réunion des musées métropolitains, 23/24, p. 26

Caroline DAHYOT à Mers-les-Bains

>> jusqu’au 12 novembre 2023 >>

Fresque collective MATTOMUNDUS

Hubert DUPRILOT investit la Galerie Racaille pour continuer la fresque collective Mattomundus, avec : ECLOZ, Colin Pouchet, Melvil Thomassin, Christelle Lardenois, 594F, Mat Plant, FIL et la RACAILLE team.
Jusqu’au 13 novembre 2023, soirée FINISSAGE VENDREDI 10 NOVEMBRE à  partir de 18h.
43 RUE DES BONS ENFANTS (ROUEN).

Pendant la première quinzaine d’octobre 2023, les galeristes FIL et SPERMY ont invité Hubert DUPRILOT pour diriger et animer une œuvre collective d’Art Urbain. Entouré de nombreux artistes rouennais dont ECLOZ et FIL, Hubert DUPRILOT s’est exprimé avec un sincère talent.
Vernissage le 21 octobre 2023 à 18h. >> jusqu’au 13 novembre 2023

Le samedi 21 octobre 2023, à la galerie RACAILLE, brèves images du vernissage d’une œuvre collective d’Art Urbain. L’exposition dure jusqu’au 13 novembre 2023.

Exposition à la Maison Papier

Au Centre Hospitalier du Rouvray à Sotteville-lès-Rouen
(à 2 pas du Musée Art et Déchirure)
jusqu’au 26 novembre 2023
Catherine BERNARD, « Mondes de papier »
exposition rétrospective

L’image du jour : L’Ascension, de Louis Soutter

C’est l’image du jour : une œuvre qui figure dans la collection du MoMA. Louis Soutter (1871-1942) a été intégré par Jean Dubuffet à sa collection d’Art brut en 1945. Les historiens de l’art inscrivent aujourd’hui l’œuvre de Soutter dans l’art moderne plutôt que dans l’art brut. Il fut en tout cas un artiste singulier.

Louis Soutter, L’Ascension, huile sur papier, 50.2 x 64.8 cm, don de l’artiste, 1939, MoMA (Museum of Modern Art), New-York.

L’humeur vagabonde. Par Kathleen Evin. Celles d’hommes et de femmes qui ont une heure pour nous raconter leurs histoires, leurs parcours, leurs rêves et leurs folies. Tous avec ce quelque chose qui fait leur originalité.

Lausanne en parle

Référence ultime

Collaboration exceptionnelle entre le Musée Art et Déchirure et le Cirque-Théâtre d’Elbeuf pour le spectacle 080.

Nous sommes ravis de vous annoncer une collaboration exceptionnelle entre le Musée Art et Déchirure et le Cirque Théâtre d’Elbeuf pour le spectacle 080.
Dans le cadre de cet événement, des œuvres du musée en lien avec le spectacle seront exposées dans les coursives du théâtre.
Cette collaboration met en avant la complémentarité entre les arts plastiques et les arts vivants, offrant une expérience multidisciplinaire unique pour les amateurs d’art et de culture.

Spectacle : samedi 06 mai à 18h00 au Cirque Théâtre d’Elbeuf.

080 – photo Cirque-Théâtre d’Elbeuf

À la croisée du cirque chorégraphique et du théâtre gestuel, 080 trace, raconte avec humour et tendresse l’histoire d’un être imaginaire, ni femme ni homme, qui n’a ni sexe ni bouche, pas de valeur, pas de famille, pas de pudeur. Mais quelle est donc cette étrange créature, digne d’un saisissant scénario de science-fiction : un mutant, notre double ?

Participez à la Conversation circassienne le samedi 6 mai à 16h30 : en introduction au spectacle, rencontre avec Jonathan Guichard, metteur en scène.

L’image du jour : Joseph Ferdinand CHEVAL

Il est important de savoir d’où on vient. L’art brut a une histoire. Et à la source de l’art brut, il y a Hauterives, dans la Drôme, où œuvra Joseph Ferdinand Cheval.
“1879-1912 : 10 000 Journées, 93 000 Heures, 33 ans d’épreuves” pour construire son Palais idéal.
Il fut considéré vers 1920 comme un précurseur de l’architecture surréaliste par André Breton, puis de l’art brut par Jean Dubuffet. Considérant le Palais comme le seul exemple d’architecture naïve, André Malraux en décide le classement en 1969. Picasso, Tinguely, Niki de Saint Phalle vouaient également une admiration sans borne au facteur Cheval.

Joseph Ferdinand CHEVAL, Tombeau du silence et du repos sans fin, sculpture, cimetière de Hauterives (Drôme) – photo JFG